24
Septembre
I have a dream ! Peace and love !
Par Laurent Bellec • Publié le 24/09/2020
Par Laurent Bellec • Publié le 24/09/2020
L'école de Sannerville n'est pas toujours un petit havre de paix où les enfants cohabitent paisiblement dans la joie et la bonne humeur ... Des tensions apparaissent ça et là , à la suite d'une moquerie, d'une insulte, d'une maladresse, d'une bousculade, d'un vélo que l'on veut avoir, d'un petit bout de lego que l'on est deux à vouloir, d'un petit bout de papier que l'on est deux à revendiquer, d'une petite querelle pour savoir qui tiendra la main de la meilleure copine, d'une faute ou d'un but litigieux lors d'un match de football etc ...
Ces querelles apparaissent dès la petite section et se poursuivent tout au long de la scolarité
Apprendre à vivre ensemble, apprendre à maîtriser ses émotions, apprendre à exprimer calmement son désaccord , apprendre à partager, apprendre à jouer en respectant des règles, apprendre à respecter le point de vue de l'autre etc ... Vaste chantier que de nombreux adultes n'ont pas encore terminé ! Pour les enfants , cette éducation se construit tous les jours autant à l'école qu'à la maison... Il est normal et utile que votre enfant soit confronté à ces querelles.
Les adultes surveillants doivent être vigilants, ils ne doivent pas intervenir systématiquement car ils empêcheraient les enfants de développer leurs mécanismes et stratégies de défense, de résolution de problèmes , de médiation , d'expression etc ...
Régulièrement, ils interviennent pour calmer le jeu, arbitrer le conflit, sanctionner le manquement aux règles etc ... Mais ils ne peuvent pas tout voir et certains enfants n'adoptent pas le bon réflexe qui consiste à alerter les adultes de l'école ( il est préférable de le faire discrètement car à l'école élémentaire ou au collège , on peut se faire cataloguer très vite dans les "balances" et autres "rapporteurs" par les auteurs des incidents )
Si votre enfant a été victime d'actes "violents"... Personne ne doit rester immobile et silencieux !
En tant que parents, n'hésitez jamais à faire part à l'école d'un témoignage fait par votre enfant que vous jugez inquiétant et qui semble affecter votre enfant
Notez simplement ce qu'a dit votre enfant à la virgule près avec ses mots à lui sans y apporter votre jugement, votre interprétation, vos commentaires, votre colère, transmettez cette information à l'enseignant avec si possible le lieu et l'heure de "l'incident" L'information sera vérifiée , une petite enquête sera menée, les témoignages contradictoires seront écoutés, "l'accusé" sera entendu, vous serez informé ensuite de ce qui s'est réellement passé si nous arrivons à le savoir
La communauté éducative ( école, cantine, périscolaire) ne laisse rien passer lorsque les incidents sont récurrents ou affectent des enfants , elle utilise au quotidien plusieurs moyens d'action :
A) les mesures préventives pour éviter les passages à l'acte et les conflits via le dialogue, la surveillance, les règles de vie et les séances d'éducation civique
B) les sanctions bien sûr : elles s'appliquent seulement en cas de flagrant délit ou de faits avérés par des aveux ou des témoignages fiables et concordants ( la présomption d'innocence est un droit évident que l'on doit accorder aux enfants )
C) la médiation : pour remonter le fil de l'histoire, verbaliser les problèmes, exprimer ce qui ne va pas, trouver un terrain d'entente etc...
D) la réparation : les excuses, le pardon, le bisou, la poignée de main et pourquoi pas un petit cadeau...
L'échelle de sanctions est clairement définie
Niveau 1 : avertissement
Niveau 2 : privation partielle de récréation
( ce niveau 2 suffit dans 99% des cas )
Niveau 3 : entretien individuel avec l'enseignant , le surveillant et/ou le directeur (et information des parents)
Niveau 4 : conseil de discipline et convocation des parents
Niveau 5 : L'inspecteur de l'Education nationale est sollicité par l'équipe enseignante , possibilité d'exclusion de l'école ( ce qui n'est jamais arrivé à Sannerville au cours de ce siècle )
PS : L'exclusion de la cantine, de la garderie ou des activités péri-scolaires est aussi possible sur décision du maire lorsque l'enfant persiste à ne pas respecter le règlement intérieur des temps périscolaires
Si le niveau 3 n'a pas suffit , ce qui est rarissime , un niveau "3 et demi " est tenté afin de ne pas atteindre le niveau 4 : le "contrat de bonne entente" entre les belligérants
Les enfants concernés sont convoqués dans le bureau du directeur , ils expriment ce qu'ils se reprochent, ils reconnaissent la responsabilité partagée, ils écrivent ce qui doit disparaître, ils s'engagent à respecter une période de mise à distance , le contrat est signé par les enfants et les adultes qui les encadrent , ils s'engagent sur un mode de réparation , ils sont informés des sanctions qui seront prises en cas de non respect du contrat . Si la phase probatoire est concluante, la mesure de mise à distance est levée et une 2nde période probatoire commence en situation normale de cohabitation.. Il s'agit donc bien du contrat de la dernière chance !
Il est aussi évident que nous tenons compte du contexte familial parfois difficile ou douloureux des enfants qui posent problème, cela n'excuse pas le manquement aux règles mais cela nous incite à être plus dans la médiation que dans la sanction.
Ce qui est aussi le plus difficile pour un parent c'est de constater et d'admettre que son enfant peut être parfois en grande partie responsable de cette tension , si vous êtes dans ce cas ....Voici un article rédigé par un pédiatre et trouvé sur mpédia.fr ( site web destiné aux parents )
Comment réagir face à l’agressivité persistante de mon enfant ?
Durant les premières années de sa vie, votre enfant découvre que le monde ne lui appartient pas, qu’il ne peut le régenter à sa guise et qu’il doit se plier à des règles qu’il n’a pas choisies, qu’il ne comprend pas toujours et qu’il estime injustes. Jusqu'à 3 ans, il exprime sa frustration en développant certaines formes d'agressivité.
Après 3 ans, l'agressivité diminue peu à peu. Si elle persiste, voire, se transforme en violence, il est important d'en comprendre les causes pour aider votre enfant à maitriser ses émotions.
L’évolution de l’agressivité
L’agressivité chez les enfants de moins de 2 ans s’exprime par des coups. L’enfant n’est pas encore en âge d’utiliser la parole pour exprimer ses désirs et ses sentiments. On parle plutôt d'impulsions, « je veux, je prends ».
Vers 2 ans, la période redoutée du « non » s'installe. Votre enfant affirme son autonomie et répond systématiquement « non » lorsqu’il est en colère ou frustré.
Passé 3 ans, l’agressivité physique diminue car l’enfant comprend le pouvoir des mots. Il développe une agressivité plus verbale, il se rend compte qu’il peut négocier, menacer et arriver à ses fins par la parole.
Si après 3 ans, votre enfant continue d'être agressif, voire violent vis-à-vis de vous, de ses camarades, mais aussi vis-à vis de lui-même, c’est peut-être le signe d’une souffrance dont il faut trouver la cause. Comprendre les raisons de son agressivité vous permettra d’adapter votre conduite et d'aider votre enfant.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
De même, si votre enfant manque de confiance en lui, sa défense peut devenir l’attaque.
Le fait d'évoluer dans un environnement familial conflictuel, une ambiance tendue, des relations difficiles avec ses frères et sœurs peuvent devenir pour lui des signes que l'agressivité est une composante habituelle de la vie.
Il peut aussi avoir compris que les adultes cèdent lorsqu’il devient agressif, cela le conforte dans son comportement.
Il peut s’agir aussi d’enfants maltraités,
en danger car ignorés (après une rupture, un divorce, une maladie, une dépression parentale…)
en échec scolaire,
ou encore face à des parents défaillants ou incapables d'expliciter les règles de vie les plus simples.
La violence peut être aussi une manière d’exprimer son existence, son identité.
Votre enfant exprime son désaccord par de la violence, comment réagir ?
Lorsque votre enfant est agressif, faites-lui comprendre clairement et fermement… mais calmement, que vous n’êtes pas d’accord, que son comportement n’est pas bon. Expliquez-lui l'importance des règles indispensables à toute vie en communauté, montrez-lui qu’elles s’appliquent à tous, y compris à vous, ses parents.
Votre enfant s’identifie aux adultes qui lui sont proches. Adoptez vous-même un comportement pondéré et serein en cas de désaccord avec lui ou avec une autre personne. Il constatera ainsi que l'agressivité n'est pas la seule réponse à un conflit.
Pour l’aider à prendre conscience de son comportement inadapté, placez-le en situation avec des jeux de rôle. Se mettre successivement dans la peau de chaque personnage l’aidera à appréhender les différents sentiments que l’on peut ressentir. Posez-lui des questions : qu’auraient dû faire les personnages ? Qu’est-ce-que lui aurait fait ? Aurait-il été en colère ? Etc.
Lui proposer une activité sportive ou artistique peut être un bon moyen de canaliser une énergie débordante et lui servir de défouloir.
Un enfant agressif est plus souvent réprimandé et culpabilisé que complimenté. N'oubliez pas de le féliciter lorsqu’il adopte une attitude adaptée à une situation dans laquelle il a pu ressentir de la frustration. L’encourager dans ses progrès lui permettra de regagner confiance en lui et le confortera dans ses changements de comportement.
Même en période de stress, essayez de partager des moments calmes avec votre enfant en lui offrant toute votre attention. Ecoutez-le et permettez-lui de s’exprimer. L'aider à mettre des mots sur ses sentiments l’aidera à diminuer son agressivité et vous permettra de comprendre les raisons de son comportement.
Ces querelles apparaissent dès la petite section et se poursuivent tout au long de la scolarité
Apprendre à vivre ensemble, apprendre à maîtriser ses émotions, apprendre à exprimer calmement son désaccord , apprendre à partager, apprendre à jouer en respectant des règles, apprendre à respecter le point de vue de l'autre etc ... Vaste chantier que de nombreux adultes n'ont pas encore terminé ! Pour les enfants , cette éducation se construit tous les jours autant à l'école qu'à la maison... Il est normal et utile que votre enfant soit confronté à ces querelles.
Les adultes surveillants doivent être vigilants, ils ne doivent pas intervenir systématiquement car ils empêcheraient les enfants de développer leurs mécanismes et stratégies de défense, de résolution de problèmes , de médiation , d'expression etc ...
Régulièrement, ils interviennent pour calmer le jeu, arbitrer le conflit, sanctionner le manquement aux règles etc ... Mais ils ne peuvent pas tout voir et certains enfants n'adoptent pas le bon réflexe qui consiste à alerter les adultes de l'école ( il est préférable de le faire discrètement car à l'école élémentaire ou au collège , on peut se faire cataloguer très vite dans les "balances" et autres "rapporteurs" par les auteurs des incidents )
Si votre enfant a été victime d'actes "violents"... Personne ne doit rester immobile et silencieux !
En tant que parents, n'hésitez jamais à faire part à l'école d'un témoignage fait par votre enfant que vous jugez inquiétant et qui semble affecter votre enfant
Notez simplement ce qu'a dit votre enfant à la virgule près avec ses mots à lui sans y apporter votre jugement, votre interprétation, vos commentaires, votre colère, transmettez cette information à l'enseignant avec si possible le lieu et l'heure de "l'incident" L'information sera vérifiée , une petite enquête sera menée, les témoignages contradictoires seront écoutés, "l'accusé" sera entendu, vous serez informé ensuite de ce qui s'est réellement passé si nous arrivons à le savoir
La communauté éducative ( école, cantine, périscolaire) ne laisse rien passer lorsque les incidents sont récurrents ou affectent des enfants , elle utilise au quotidien plusieurs moyens d'action :
A) les mesures préventives pour éviter les passages à l'acte et les conflits via le dialogue, la surveillance, les règles de vie et les séances d'éducation civique
B) les sanctions bien sûr : elles s'appliquent seulement en cas de flagrant délit ou de faits avérés par des aveux ou des témoignages fiables et concordants ( la présomption d'innocence est un droit évident que l'on doit accorder aux enfants )
C) la médiation : pour remonter le fil de l'histoire, verbaliser les problèmes, exprimer ce qui ne va pas, trouver un terrain d'entente etc...
D) la réparation : les excuses, le pardon, le bisou, la poignée de main et pourquoi pas un petit cadeau...
L'échelle de sanctions est clairement définie
Niveau 1 : avertissement
Niveau 2 : privation partielle de récréation
( ce niveau 2 suffit dans 99% des cas )
Niveau 3 : entretien individuel avec l'enseignant , le surveillant et/ou le directeur (et information des parents)
Niveau 4 : conseil de discipline et convocation des parents
Niveau 5 : L'inspecteur de l'Education nationale est sollicité par l'équipe enseignante , possibilité d'exclusion de l'école ( ce qui n'est jamais arrivé à Sannerville au cours de ce siècle )
PS : L'exclusion de la cantine, de la garderie ou des activités péri-scolaires est aussi possible sur décision du maire lorsque l'enfant persiste à ne pas respecter le règlement intérieur des temps périscolaires
Si le niveau 3 n'a pas suffit , ce qui est rarissime , un niveau "3 et demi " est tenté afin de ne pas atteindre le niveau 4 : le "contrat de bonne entente" entre les belligérants
Les enfants concernés sont convoqués dans le bureau du directeur , ils expriment ce qu'ils se reprochent, ils reconnaissent la responsabilité partagée, ils écrivent ce qui doit disparaître, ils s'engagent à respecter une période de mise à distance , le contrat est signé par les enfants et les adultes qui les encadrent , ils s'engagent sur un mode de réparation , ils sont informés des sanctions qui seront prises en cas de non respect du contrat . Si la phase probatoire est concluante, la mesure de mise à distance est levée et une 2nde période probatoire commence en situation normale de cohabitation.. Il s'agit donc bien du contrat de la dernière chance !
Il est aussi évident que nous tenons compte du contexte familial parfois difficile ou douloureux des enfants qui posent problème, cela n'excuse pas le manquement aux règles mais cela nous incite à être plus dans la médiation que dans la sanction.
Ce qui est aussi le plus difficile pour un parent c'est de constater et d'admettre que son enfant peut être parfois en grande partie responsable de cette tension , si vous êtes dans ce cas ....Voici un article rédigé par un pédiatre et trouvé sur mpédia.fr ( site web destiné aux parents )
Comment réagir face à l’agressivité persistante de mon enfant ?
Durant les premières années de sa vie, votre enfant découvre que le monde ne lui appartient pas, qu’il ne peut le régenter à sa guise et qu’il doit se plier à des règles qu’il n’a pas choisies, qu’il ne comprend pas toujours et qu’il estime injustes. Jusqu'à 3 ans, il exprime sa frustration en développant certaines formes d'agressivité.
Après 3 ans, l'agressivité diminue peu à peu. Si elle persiste, voire, se transforme en violence, il est important d'en comprendre les causes pour aider votre enfant à maitriser ses émotions.
L’évolution de l’agressivité
L’agressivité chez les enfants de moins de 2 ans s’exprime par des coups. L’enfant n’est pas encore en âge d’utiliser la parole pour exprimer ses désirs et ses sentiments. On parle plutôt d'impulsions, « je veux, je prends ».
Vers 2 ans, la période redoutée du « non » s'installe. Votre enfant affirme son autonomie et répond systématiquement « non » lorsqu’il est en colère ou frustré.
Passé 3 ans, l’agressivité physique diminue car l’enfant comprend le pouvoir des mots. Il développe une agressivité plus verbale, il se rend compte qu’il peut négocier, menacer et arriver à ses fins par la parole.
Si après 3 ans, votre enfant continue d'être agressif, voire violent vis-à-vis de vous, de ses camarades, mais aussi vis-à vis de lui-même, c’est peut-être le signe d’une souffrance dont il faut trouver la cause. Comprendre les raisons de son agressivité vous permettra d’adapter votre conduite et d'aider votre enfant.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
De même, si votre enfant manque de confiance en lui, sa défense peut devenir l’attaque.
Le fait d'évoluer dans un environnement familial conflictuel, une ambiance tendue, des relations difficiles avec ses frères et sœurs peuvent devenir pour lui des signes que l'agressivité est une composante habituelle de la vie.
Il peut aussi avoir compris que les adultes cèdent lorsqu’il devient agressif, cela le conforte dans son comportement.
Il peut s’agir aussi d’enfants maltraités,
en danger car ignorés (après une rupture, un divorce, une maladie, une dépression parentale…)
en échec scolaire,
ou encore face à des parents défaillants ou incapables d'expliciter les règles de vie les plus simples.
La violence peut être aussi une manière d’exprimer son existence, son identité.
Votre enfant exprime son désaccord par de la violence, comment réagir ?
Lorsque votre enfant est agressif, faites-lui comprendre clairement et fermement… mais calmement, que vous n’êtes pas d’accord, que son comportement n’est pas bon. Expliquez-lui l'importance des règles indispensables à toute vie en communauté, montrez-lui qu’elles s’appliquent à tous, y compris à vous, ses parents.
Votre enfant s’identifie aux adultes qui lui sont proches. Adoptez vous-même un comportement pondéré et serein en cas de désaccord avec lui ou avec une autre personne. Il constatera ainsi que l'agressivité n'est pas la seule réponse à un conflit.
Pour l’aider à prendre conscience de son comportement inadapté, placez-le en situation avec des jeux de rôle. Se mettre successivement dans la peau de chaque personnage l’aidera à appréhender les différents sentiments que l’on peut ressentir. Posez-lui des questions : qu’auraient dû faire les personnages ? Qu’est-ce-que lui aurait fait ? Aurait-il été en colère ? Etc.
Lui proposer une activité sportive ou artistique peut être un bon moyen de canaliser une énergie débordante et lui servir de défouloir.
Un enfant agressif est plus souvent réprimandé et culpabilisé que complimenté. N'oubliez pas de le féliciter lorsqu’il adopte une attitude adaptée à une situation dans laquelle il a pu ressentir de la frustration. L’encourager dans ses progrès lui permettra de regagner confiance en lui et le confortera dans ses changements de comportement.
Même en période de stress, essayez de partager des moments calmes avec votre enfant en lui offrant toute votre attention. Ecoutez-le et permettez-lui de s’exprimer. L'aider à mettre des mots sur ses sentiments l’aidera à diminuer son agressivité et vous permettra de comprendre les raisons de son comportement.